Toutes les entreprises européennes, cotées ou non, qui réunissent deux des trois critères suivants sont concernées :
salariés et +
de chiffre d’affaires et +
de bilan et +
Mais aussi :
Ainsi, environ 50 000 acteurs économiques sont concernés par la CSRD, soit 39 000 de plus qu’avec la directive européenne sur le reporting extra-financier (NFRD), qui s’est traduit par la déclaration de performance extra-financière (DPEF) en France.
Les équipes de Labrador se mobilisent pour vous accompagner dans la mise en œuvre de ces nouvelles obligations CSRD, quels que soient votre point de départ et votre niveau de maturité.
La directive CSRD va notamment avoir un impact fort sur :
La CSRD exige des entreprises qu’elles produisent une information fiable, comparable et vérifiable.
Le rapport de durabilité doit présenter les informations ayant une influence substantielle sur les décisions des parties prenantes (investisseurs, actionnaires, analystes, ONG, etc.) dans le cadre de la double matérialité. Selon ce principe, les entreprises doivent rendre compte à la fois de l’impact de leurs activités sur les questions de développement durable (“outside-in”) et de l’impact de leurs activités sur la société et l’environnement (“inside-out”).
Ces informations doivent représenter fidèlement la réalité avec des données complètes, neutres et exactes.
Elles doivent être cohérentes dans le temps et, dans la mesure du possible, présentées de manière à permettre des comparaisons entre entreprises. Cela implique donc d’utiliser des critères, des approches et des méthodologies communes et standardisées.
Enfin, ces informations doivent être publiques, accessibles et traçables numériquement.
Les équipes de Labrador vous accompagnent dans votre projet de transition vers la CSRD pour produire et présenter une information de confiance à vos parties prenantes :
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